Le travail artisanal le plus important, qui existe comme témoignage d’une industrie capverdienne florissante au premier siècle de la colonisation, est le tissu de travail, le tissu typique aujourd’hui mieux connu sous le nom de tissu de terre, produit sur des métiers à tisser artisanaux en bandes étroites et longues : il est aujourd’hui utilisé pour des vêtements décoratifs, des sacs et d’autres objets, mais a déjà joué un rôle important non seulement dans l’habillement local, mais aussi dans le commerce du Cap-Vert avec le monde extérieur.
À Santiago, outre le tissu de terre, on produit des objets utiles en terre cuite, des pièces décoratives en noix de coco, des sacs de sisal, des paniers (balais), des liqueurs. Malgré le problème d’écoulement des produits, l’artisanat continue à survivre dans l’île, à l’intérieur de l’île, il nous a offert de beaux objets artisanaux à rechercher. À Santiago aussi avec plusieurs artistes au théâtre, la peinture, qui sort notre art.